Alors que certains projets n’auraient pu exister sans le numérique (Wikipédia, Openstreetmap…), de nombreuses associations s’emparent du numérique pour renouveler leur projet et repenser leurs pratiques. L’usage du numérique s’est répandu rapidement dans les associations, pour communiquer, pour gérer, pour recruter, pour lever des fonds…
En matière de gouvernance, il peut faciliter le partage d’informations, et permettre une participation plus large des membres à la délibération collective. L’exemple du vote à distance est le plus significatif. Mais en amont des décisions, les sondages en ligne peuvent aussi singulièrement changer la donne.
Le numérique constitue donc une formidable occasion d’ouvrir les espaces de décisions, d’améliorer la transparence, ou de muscler le débat démocratique.
Pour autant, les outils numériques ne constituent pas un remède miracle. D’une part, sans accompagnement, le risque principal est d’exclure les membres qui ne sont pas « connectés ». D’autre part, des conditions sont à réunir pour que l’outil reste au service du projet et non l’inverse. Quelles sont-elles ?
intervenants :
Bastien Sibille : Fondateur de Talcod et expert de la gouvernance numérique des entreprises responsables
Mathilde Pousseo : Déléguée générale des Foyers ruraux
Jean Karinthi : membre d’OpenStreetMap France
Animation par Charlotte Debray, déléguée générale de la Fonda.
Le mardi 17 février à la Gaîté Lyrique : http://gaite-lyrique.net/
Entrée libre, merci de vous inscrire : fonda@fonda.asso.fr
Les inscrits recevront la revue de presse.